831 Audio (s)

12ème album du bluesman norvégien Bjorn Berge.

C'est à l'occasion d'un spectacle exclusif au Cirque d'Hiver que Christine And The Queens a présenté Redcar Les adorables étoiles. L'artiste définit son nouveau projet musical ainsi : "Tout ceci est un opéra. Il prendra le temps de se dévoiler comme il se dévoile à Redcar, à mesure que lui acte sa folle liberté. Des anges et des étoiles, le verbe souverain, le coeur comme centre. Redcar n'est pas vraiment là pour acter autre chose que la nécessité de dire qui on est et ce qu'on prie chaque jour".

Chef d'orchestre, compositeur, pédagogue, pianiste ... : Leonard Bernstein était, sans aucun doute possible, le plus grand musicien jamais "produit" par l'Amérique. Bernstein dit de sa 'Sheherazade' comme une série de louanges à l'amour. Il faut signaler la lente mélodie lyrique du premier mouvement, 'Phèdre', immortalisé dans le 'Maria' de 'West Side Story'. 'Facsimile', une oeuvre aux tonalités tendres-acerbes, décrit le malaise de l'après-guerre et le vide spirituel de l'homme moderne. Dans le 'Divertimento' pour orchestre, composé pour le Boston symphony Orchestra', Bernstein semble s'amuser beaucoup : 'calembours musicaux', humeur enjouée.

Dans la presse : "Un groupe d'interprètes inspirés, cultivés, par lesquels l'auditeur est emporté dans l'univers poétique du compositeur." Martine Dumont-Mergeay In La Libre Belgique 30 janvier 2008

"Au masculin" est à l'image d'Amandine. Un nouvel album feuilletant ses émotions dans lequel elle a choisi de revisiter de grandes chansons incarnées par des hommes. Des hommes qui l'ont accompagnée tout au long de sa vie parfois pour pleurer, mais aussi danser, rire ou encore frissonner. Des chansons d'hommes dans lesquelles Amandine a mis un peu d'elle, de sa douceur et de sa féminité. Ainsi féminité et masculinité se côtoient dans cet album. "Au Masculin" est donc un album "tribute" à des chanteurs aimés depuis toujours et dans lequel Amandine réinterprète à sa manière des standards.

Aux côtés du batteur Justin Brown, du pianiste Sam Harris et du contrebassiste Harish Raghavan (ses compagnons de route depuis plus d'une décennie), le trompettiste livre un album politique faisant état de la condition actuelle des afro-américains aux Etats-Unis.

La musique de cette formation autrichienne est sombre et lumineuse, triturée de bruits électroniques, à la fois downtempo mais d'une tension fatalement émouvante. Intimes, fragiles, ses mélodies font échos à Diamanda Galas, Nico ou Antony & the Johnsons.

Une garde à vue de l'auteur le mène à se poser des questions sur son identité, sa famille, son enfance. Texte intégral de ce roman autobiographique. Avec un bonus enregistré lors de la lecture publique par l'auteur, sous la direction artistique de Jean-Michel Ribes.

Leur nom reste encore à ce jour assez confidentiel et pourtant les new yorkais fêtent en 2010 cette année leurs dix ans d'existence. Il est temps de rendre justice à ces petits cousins pas très éloignés des Strokes avec ce disque produit par Chris Zanz, déjà remarqué aux manettes derrière Mumford & Sons, Passion Pit ou The Rakes.

Co-produit par Tony Berg à Los-Angeles, cet album reprend le modèle pop-folk pour lui donner des nouvelles formes passant du folk-noir-gothique à des passages pop opaques et sensuels. On le compare à Bat for Lashes pour sa sensualité païenne, My Brightest Diamond pour sa voix cristalline d'opéra et Kate Bush pour la beauté des arrangements.

"Cet album me ramène aux origines de ma passion pour la musique, déclare Lenny Kravitz, à ce que j'éprouvais lorsque j'étais au lycée. C'est un vrai disque de rock'n'roll, brut, avec une âme, et qui a coulé de source." Ainsi parle Lenny Kravitz de son dixième album studio. Ses douze morceaux frappent fort sur le plan rythmique et explorent le désir sous toutes ses formes, qu'il soit purement physique ou idéalisé. Ces chansons ne trichent pas, et c'est ainsi que Lenny Kravitz les voulait. Comme à son habitude, Lenny Kravitz joue ici de la guitare, de la basse, des claviers, de la batterie et des percussions. Il a également arrangé et produit le disque, même si, soucieux de ne pas trop le polir, il ne l'a pas surproduit. Craig Ross, qui l'accompagne depuis plus de vingt ans, a ajouté quelques guitares et Tom "Bone" Edmonds, qui a commencé par mixer les concerts du musicien, est l'ingénieur du son du disque. Le trompettiste Ludovic Louis et le saxophoniste Harold Todd, avec qui Lenny Kravitz collabore depuis longtemps, ont joué des parties de cuivres qui remuent les tripes. Cindy Mizelle, Tawatha Agee et James "D Train" Williams chantent les choeurs de "Strut". Pour la touche finale, Lenny Kravitz a fait appel au légendaire Bob Clearmountain. Ingénieur du son qui a travaillé sur "Let's dance" (David Bowie), "Tattoo you" (les Rolling Stones) et "Born in the USA" (Bruce Springsteen), trois albums classiques qui ont influencé Lenny Kravitz et correspondent à l'univers sonore qu'il envisageait pour "Strut"."Je ne savais pas vraiment comment l'album allait sonner jusqu'à ce qu'il le mixe, note Lenny Kravitz. Bob lui a véritablement donné la vie."